Me voilà ! [libre]

Lorsqu’elle ouvrit les yeux, tous étais flou, était-elle devenu aveugle ? Non, ce n’était pas le cas, puisque rapidement, la vue lui revint. Autour, d’elle c’était la forêt, normal, puisque c’était dans une forêt qu’elle était au moment ou elle s’était cogné contre l’arbre. Par contre, il y avait quelque chose qui clochait, de un, la végétation n’était plus du tous la même, alors qu’elle était dans une forêt de sapin, maintenant autour d’elle se mêlait arbre avec des feuilles multicolore, fleur géante, herbe qui semblait presque bleu même. Elle remarqua des oiseaux, qui semblaient plutôt être des mini chevaux volant. Des animaux se promenait de branche en branche, ils avaient le pelage rose, avait la forme d’un boule de poil possédant deux long bras. Il y avait même des chenilles de la grosseur d’un chien qui dormaient paisiblement dans les arbres. Décidément, Mari-li n’était plus du tous au même endroit. Un autre indice lui prouvait qu’elle avait changé de place, elle se souvenait très bien de s’être cogné la tête sur un arbre, d’ailleurs elle sentait encore la douleur dans sa tête. Par contre, il n’y avait pas d’arbre dans l’immédiat de la ou elle était, elle était installer dans une clairière, dans un rond de lumière, parce que justement il n’y avait pas d’arbre pour empêcher la lumière de passé. La jeune fille, réchauffé par les rayons du soleil, n’osait pas se lever. Sa tête lui faisait mal et elle se sentait toute engourdit. Combien de temps était-elle resté endormi, comment et qui l’avait amené ici. Puis tous a coup, une évidence, une véritable évidence lui vint à l’esprit. Elle était en plein dans un rêve, oui, elle rêvait. C’était tous simplement le seul réponse possible. Bon d’accord, il était un peu bizarre qu’elle ressente de la douleur, mais si elle ressentait ce maux, dans la réalité aussi, ce devait être normal. Oui, normal. Ainsi elle était dans un rêve… bien sur cela expliquait l’étrangeté du paysage. Elle avait plus d’imagination qu’elle croyait. Sentant qu’elle avait enfin la force de se lever, Mari se mit debout et commença à marcher, un peu étourdi, elle du se tenir sur les étranges arbres du coin pour avancer. Puis elle remarqua une autre clairière qui semblait bien plus grande. Elle marcha a travers les plantes, certaines firent même un couinement lorsqu’elle marcha sur leur feuille sans faire exiprès. Un peu apeurer, elle pressa le pas. Ce monde était peut-être un peu trop etrange pour elle finalement. Alors qu’elle arrivait dans l’autre clairière, elle s’accrocha dans une racine et s’étala de tous son long dans l’herbre, bleu-vert. Au moment ou elle fit « ouille » elle entendit un autre ouille provenant de la racine elle-même, cela fit le saut à Mari-li qui ramena rapidement sa jambe près d’elle et loin de la racine vivante. Elle recula doucement, toujours assise dans l’herbe. Puis se cogna, de nouveau la tête, mais cette fois sur une patte de table. Elle se retourna, la devant elle, il y avait une grande table, en plein dans la forêt. La jeune demoiselle se leva en s’aidant de la table et regarda ce qui y avait dessus. Voila, maintenant on pouvait carrément sortir le champ lexical complet de tous les mots en rapport avec le thé, et on avait tous ce qui y a sur la table. Tasse, théière, petit gâteau, sachet de thé… et je ne finirais plus. Ayant un petit creux, Mari pris un petit gâteau sur la table, puis elle s’assit. Elle ne savait pas si elle avait le droit… quoi que, bien sur qu’elle avait le droit, elle était en plein dans son rêve !

Pusique cinq heures était celle du thé, hatter buvais consciencieusement de son breuvage préféré, noir et sucré. mais alors qu'il allait prendre la première gorgée de sa tasse chaude, quelque chose frappa la table qui la fit trembler de même que tout les articles théiers qui se trouvaient à même de se guerroyer pentre eux pour une petite place sur la surface nappée. échapant du même coup quelques gouttes de son thé noir sur sa chemise verte et coulant le long de son cou, il se précipita de saisir une serviette de table pour s'essuyer là où le breuvage avais coulé.
Puis, après la menace écartée, mais toujours quelque peu vexé de la tache de thé faite sur son chemisier en tombant, il leva la tête pour voir ce qui avais provoqué pareille catastrophe, tout de même.

une jeune fille étais sortie de sous la table blanche et s'étais assise sur l'une des nombreuses chaises qui l'entouraient et étais passablement occupée à dévorer un gâteau pacanes et beurre qui se trouvait non loin.
apparemment sans avoir pris la moindre conaissance des alentours, puisqu'elle semblait ignorer sa présence.
évidemment, puisqu'il n'avais pas émis le moindre son depuis qu'il l'avais vue, elle.
Souriant, il saisit un cuiller et donna trois petits coups sur une tasse de thé, faisant résonner un petit tintement clair et aigu qu'elle sembla entendre, car elle s'arrêta de s'empiffrer un instant et leva les yeux vers la provenance du bruit qui l'avait surpris. Et sans aucun doute, elle vit aussi au passage le chapelier souriant qui se trouvait juste à quelques chaises d'elle, à l'extrémité du long et grand meuble.
ayant enfin agrippé son attention, Hatter se permis de lui adresser la parole sur un ton aimable et posé.

-Bonsoir, mademoiselle, ce gâteau vous convient-il?
puis, sans attendre la moindre réponse, il se saisit de la théillère et versa du thé dans une autre tasse, puis la lui tendit en lui en proposant.

-voulez-vous du thé? l'aimez-vous mieux concentré, léger, sucré, acide, aigre, corsé, doux, au lait, à l'eau, au citron, peut-être, nous avons aussi de la crème, que vous pouvez y ajouter, ainsi que tout ce que vous voulez, si vous le désirez.

Puis, attrapant une fleur dans le bouquet qui trônait fièrement devant lui, le chapelier saisit une tulipe dont il en retira la tige et la mit dans les cheveux de la petite fille, et sourit.

-nettement mieux, nettement mieux, dites-moi, très chère, comment vous nommez-vous? car il doit aussi sûrement que je suis fou y avoir une façon de vous interpeller, et voyez-vous, il serait de bon plaisir de la connaître, pour pouvoir mieux vous exposer ma pensée que voici; je ne vous ai jamais vue ici auparavant. mais ceci n'est que détail, que de détails inutiles, n'y prêtez aucune attention, ma petite. au lieu de cela, je vous le propose, que diriez-vous d'aller marcher un peu? je suis certain que certains amis se feraient un plaisir de vous rencontrer ici-bas. n'est-il pas? aussi, il se leva en s'essuyant un dernière fois les contours de la bouche et la petite tache de thé qui s'effaçait lentement de sur son chemisier vert. Puis il se dirigea vers la jeune fille et recula sa chaise afin qu'elle se lève et pris son bras sous le sien tout en commençant à marcher.

Mari-li était en train de manger un petit gâteau au fraise avec du crémage, tous a fait délicieux d’ailleurs, lorsqu’elle entendit un son, elle le reconnu tous de suite pour l’avoir souvent entendu dans les films. C’était le bruit d’un ustensile frappant sur un verre, ou peut-être une tasse. La jeune fille qui avait toujours la bouche pleine, leva les yeux vers le son et remarqua un homme. Il semblait plutôt étrange avec son style de vêtement bizarre et plein de couleur. Il avait sur la tête, un grand chapeau, comme ceux des gens riche, mais ça couleur étais plus originale, c’était surtout la fleur qui lui donnait cet effet. Puis, dans son dos, de longs cheveux pendaient. Enfin, tous étais bizarre physiquement chez lui et a l’entendre parler, c’était surement la même histoire psychologiquement.

L’inconnu la salua et lui demanda si elle aimait son gâteau, étant donné que la jeune demoiselle avait la bouche plein, elle ne pu répondre, de toute manière elle n’aurait eu le temps, car déjà il continuait :

- voulez-vous du thé? l'aimez-vous mieux concentré, léger, sucré, acide, aigre, corsé, doux, au lait, à l'eau, au citron, peut-être, nous avons aussi de la crème, que vous pouvez y ajouter, ainsi que tout ce que vous voulez, si vous le désirez.

Toujours en train de finir sa bouché, Mari voulu répondre. Mais elle fut captée par les mouvements de l’étrange personnage. Il avait pris une fleur, une tulipe pour être plus exacte et l’avais délicatement placé dans les cheveux de l’adolescente. Puis de nouveau il avait recommencé à parler :

- nettement mieux, nettement mieux, dites-moi, très chère, comment vous nommez-vous? car il doit aussi sûrement que je suis fou y avoir une façon de vous interpeller, et voyez-vous, il serait de bon plaisir de la connaître, pour pouvoir mieux vous exposer ma pensée que voici; je ne vous ai jamais vue ici auparavant. mais ceci n'est que détail, que de détails inutiles, n'y prêtez aucune attention, ma petite. au lieu de cela, je vous le propose, que diriez-vous d'aller marcher un peu? je suis certain que certains amis se feraient un plaisir de vous rencontrer ici-bas. n'est-il pas?

Quelque minute après avoir parler, il c’était placé derrière Mari, lui tirant sa chaise, puis il vint se poster à côté d’elle et pris son bras, à la gentleman. Elle se résigna à le suivre, mais comme elle pouvait enfin parler, elle prit la parole. Étant un moulin à parole, doubler d’une grande curieuse, il n’allait pas s’ennuyer.

- Vous m’avez demandé comment je m’appelais, eh bien, je me prénomme Mari-li Ikai, mais vous pouvez m’appeler Mari tous simplement. Eh puis, comme je rêve, il est possible que vous ne me connaissiez pas. Ce que je me demande, c’est si vous êtes un être que j’ai créé avec mon imagination, ou si vous être juste dans le même rêve que moi. Par contre, comme vous ne semblez pas perturber par cet endroit, ma première hypothèse reste la meilleure. Mais bon, puis que ce n’est qu’un simple rêve, je vais vous cité, ceci n’est que détails, que détail inutiles.

La demoiselle ne pu s’empêcher de sourire, même s’il était des plus étrange, ce jeune homme semblais doux et gentil, elle avait confiance, il n’allait pas lui faire de mal. Puis Mari-li demanda :

- Qui sont vos amis qui aimeraient me rencontrer ?